« 2022 ne ressemblera pas aux élections présidentielles précédentes, vaccin ou pas vaccin, le virus ne sera pas simplement un mauvais souvenir, nous vivrons encore sous contrainte, et les équipes des futurs candidats s’y préparent : « On ne pourra pas serrer des louches, on ne pourra pas organiser des meetings à 15.000 personnes à la porte de Versailles ou à Bercy« , se lamente déjà un ami d’Emmanuel Macron. » (https://www.rtl.fr/actu/politique/emmanuel-macron-defie-mcfly-et-carlito-sur-youtube-et-si-2022-se-jouait-deja-7900001985)Le président Macron, en parlant ainsi, nous offre 2 vérités :1) l’état d’urgence sanitaire s’étendra jusqu’à ce rendez-vous démocratique de premier ordre, combien même nous serions tous vaccinés, d’où se pose la question de la gestion de la crise… Est elle orientée à des fins de santé publique où à des fins politiques ? N’est elle pas pour le parti présidentiel, une opportunité pour cacher le peu d’enthousiasme qu’il suscite ? Jusqu’à quand ce gouvernement arrivera t’il à la maintenir ?2) Il y aura bien un avant et un après COVID. Il est temps pour les entreprises et en particulier les commerçants, mais aussi les artistes et le monde de la culture, de développer leur notoriété et leur business en ligne.

Le numérique est d’ores et déjà considéré comme la 4e révolution industrielle que connais l’humanité. Pour ne pas la subir, il faut la dompter, se poser la question : qu’est-ce qu’il est possible de faire, qu’est-ce que nous voulons pour l’humanité, qu’est-ce que nous ne voulons pas. Un débat qui devrait être exposé et partagé, et pourtant invisibilisé par les opportunités d’argent et de pouvoir que ces technologies représentent.